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Joachim Du Bellay s’inscrit dans la tradition poétique du
blason qui connaît un essor important durant le XVI
Ce quatre-vingt-onzième sonnet se situe dans un petit groupement de pièces qui mettent en lumière la coquetterie outrancière des femmes latines qui y sont peintes. Le sonnet quatre-vingt-dix, qui est une adresse à un certain Bouju, va ainsi présenter le sujet lyrique des poèmes à venir. Le quatre-vingt-douzième, « En mille crespillons les cheveux se friser […] » se place ainsi dans la mouvance thématique et satirique du poème étudié.
autres poèmes des Regrets ou l’Olive.
https://www.google.fr/#q=Du+bellay+bnf