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Jean-Luc Lagarce écrit Juste la fin du monde en 1990, alors qu’il se sait atteint du sida. La pièce comporte deux parties, séparées par un intermède. Louis, 34 ans, revient vers sa famille après des années d’absence. Il retrouve sa mère, sa petite sœur Suzanne, son frère Antoine, marié à Catherine. Venu pour leur annoncer sa mort prochaine, il ne parvient pas à leur parler et le temps s’écoule, ponctué par les colères d’Antoine, les souvenirs amers et les vaines tentatives de communication entre les différents membres de la famille.
Quand Louis arrive dans la maison occupée par sa mère et sa sœur,
il tente de renouer le lien rompu avec chaque membre de la famille, fait la
connaissance de Catherine, sa belle-soeur. Antoine et de Catherine se querellent,
tandis que la Mère et Suzanne reviennent sur le passé et sur les années d’absence de
Louis.
Pas de didascalie, à l’exception de la didascalie initiale : « Cela se
passe dans la maison de la Mère et de Suzanne, un dimanche, évidemment, ou bien
encore durant près d’une année entière. »
Extrait de mise en scène :
https://www.theatre-contemporain.net/spectacles/Juste-la-fin-du-monde-20323/
https://www.reseau-canope.fr/edutheque-theatre-en-acte/oeuvre/jean-luc-lagarce-1/juste-la-fin-du-monde.html
Ressources pédagogiques :
https://eduscol.education.fr/odysseum/juste-la-fin-du-monde-de-jean-luc-lagarce-lire-analyser-mettre-en-jeu